Wednesday, April 23, 2014




Après des heures de voyage par avion et par métro, nous sommes arrivées à notre hôtel à Paris. La première langue que j’ai entendue était l’arabe. Une vraie déception. Rien ne ressemblait aux clichés dans les films. Ce jour-là, nous sommes allées visiter la basilique du Sacré-Cœur située sur Montmartre. Un monument touristique qu’on liste à côté de l’Arc de Triomphe, Notre-Dame de Paris, les Champs Elysées ;  une église d’une beauté architecturale extraordinaire. Je n’ai pas pu prendre de photos dedans alors voici une vidéo trouvée sur internet. 

De là-bas, nous voyons Paris d’en haut.




A côté nous trouvons des magasins touristiques pleins d’objets attirants, et toutes des scènes typiques de la vie parisienne ; les artistes avec leurs stands, les caricaturistes, les galeries de travaux connues (comme ceux de Dali par exemple), des galeries personnels et des cafés.
La nuit du même jour, nous sommes allées à la pièce « Dom Juan » de Molière au théâtre espace Marais qui ne peut prendre que 120 spectateurs par représentation ce qui fait que les acteurs sont très proches. Personnellement, j’ai aimé cela.

La place dans laquelle le théâtre est situé diffère totalement d’où l’hôtel était. La différence se voit par les stations de métro. D’une qui sent très mauvais, avec des chaises salles et pleine d’ivrognes, à une autre qui est beaucoup plus propre et avec des mendiants en train de jouer de la musique classique. 

L’aventure continue pour cinq autres jours dans lesquelles j’ai découvert que Paris ne se voit pas dans une semaine… peut-être même pas un mois avec cette culture inépuisable et variée : artistique, littéraire, philosophique et objets de grand luxe.

Monday, February 3, 2014

Reaction a "Tu flippes ta race, batard"

Cet article parle de la dégradation de la langue française par l’invasion des mots  argot introduit par les jeunes. L’auteur Jean-Francois Dortier examine le problème du point de vue de la sociologie en empruntant  des arguments de sociologue comme W.Labov. Il trouve que l’introduction de tous ces mots étrangers à la langue l’affaiblit. Et il cherche à trouver des raisons de ce phénomène.

Personnellement, je crois que ce phénomène n’as pas de raison suspect. Mais c’est une évolution normale qui se répète à travers le temps. Si les gens croient que cela est une détérioration  de la langue française classique. Cette langue n’est-elle pas un résultat d’une évolution d’une langue antérieur qui était supposée être classique.
Aussi, s’ils craignent que des langues comme l’anglais ou l’arabe soient une menace à la langue française. Il ne faut pas oubliée que le français classique a déjà emprunter des mots aux autres langues au cours son évolutions.

Finalement, l’emploie des gros mots est plutôt la faute du  mode conduite que la famille permet. C’est plutôt une question de culture. 

Sunday, January 19, 2014

L'esperanto ou la langue universelle

http://www.lepetitjournal.com/varsovie/societe/158520-une-langue-universelle-l-esperanto-originaire-de-pologne


La naissance de l’espéranto
Né en 1859 dans une famille polyglotte, Ludwik Lejzer Zamenhof est dès l’enfance sensible aux fréquents conflits entre Russes, Polonais, Allemands et Juifs dans sa ville natale, Białystock. Convaincu que les différends entre communautés sont le résultat d’une incapacité à communiquer, il décide d’inventer une langue susceptible de devenir une lingua franca qui permettrait de réconcilier les différentes ethnies. Il présente la première version de cette langue à ses camarades de classe à l’âge de 19 ans, mais il doit bientôt mettre le projet entre parenthèses pour continuer des études en médecine à Moscou. Son père, craignant que cette langue inventée de toute pièce ne soit prise pour un langage codé et attire des problèmes à son fils, fait promettre à Ludwik Zamenhof d’interrompre ses travaux le temps de son séjour à Moscou. Le fils tient la promesse, mais il n’oublie pas le projet et s’y remet dès sont retour à Varsovie, deux ans plus tard. Grâce à ces deux années d’études à Moscou, où il a été en contact avec des étudiants originaires des quatre coins de l’Empire Russe, le jeune polyglotte a pu observer et comparer de nombreuses langues, ce qui lui sert à améliorer son projet et à le rendre plus universel. C’est ainsi qu’il publie en 1887 sous le pseudonyme « Doktoro Esperanto » (Le Docteur qui espère) « Langue Internationale », un manuel d’apprentissage de cette langue construite appelée espéranto. 
Un succès international
L’espéranto connait très rapidement un succès incontestable tant dans l’Empire russe qu’à l’extérieur de ses frontières. Dès le début des années 1900, des sociétés d’espéranto s’organisent sur différents continents. En 1905, alors qu’on dénombre 308 de ces sociétés, le premier congrès mondial d’Espéranto réunit des participants de 70 pays. La popularité de la langue tient à sa simplicité : une grammaire qui ne comporte aucune exception, un système d’orthographe dit « transparent » où chaque lettre correspond à un seul son, une syntaxe qui permet un ordre des mots plutôt variable (quoique certaines règles existent), et l’accent qui tombe invariablement sur l’avant-dernière syllabe caractérisent l’espéranto. En outre, la majeure partie du vocabulaire et de la grammaire est tirée des langues indo-européennes, la famille de langues comptant le plus grand nombre de locuteurs. Parmi les principales sources lexicales, on trouve le français, l’italien, l’allemand, l’anglais, le grec ancien, le russe et le polonais. Le nombre limité de racines lexicales et d’affixes contribuent à la facilité d’apprentissage de cette « langue internationale ».
Situation actuelle
Bien que l’espéranto ne soit la langue officielle d’aucun pays, on dénombre aujourd’hui environ trois millions de locuteurs selon les estimations les plus souvent citées (bien que ce nombre varie de 100 000 à 10 millions). Ainsi, l’espéranto, parlé sur les cinq continents, est la seule langue artificielle devenue langue vivante.  À l’ère de la mondialisation et des nouvelles technologies, le besoin d’une langue commune à l’échelle internationale se fait de plus en plus sentir. N’étant la langue maternelle d’aucune communauté, s’acquérant de cinq  à dix fois plus rapidement que n’importe quelle autre langue étrangère, l’espéranto se présente comme une option équitable pour tous. 
En fevrier 2013, une petition a ete lancee pour faire de l'esperanto la vingt-quatrieme langue officielle de l'Uniion Europeene
Source:

http://www.lepetitjournal.com/varsovie/societe/158520-une-langue-universelle-l-esperanto-originaire-de-pologne



Opinion personelle:

« Convaincu que les différends entre communautés sont le résultat d’une incapacité à communiquer »

 Je suis à 100% d'accord que la plupart des guerres peuvent être blâmées sur la division géographique (frontières). Comment? Ma théorie est que la division géographique est partiellement un résultat des différences linguistiques et l’incapacité à communiquer. Alors si une seule langue (disons l'esperanto) existe et est partagée mondialement, la division entre le peuple de la terre ne sera pas si vaste qu’aujourd’hui. De même, il n'y aura pas d'expansion culturelle... un desavantage.
Mon opinion sur la langue et l'identite:  http://sana-francaisa2.blogspot.com/p/langue-et-indentit.html

Thursday, January 9, 2014

Découverte de la culture marocaine


Souq

Femme dans habits traditionnelles; Souq 

Architecture au Spa (Hamam Maghribi) 

Thé et patte Maghribi 

Saturday, November 23, 2013

Reaction 21/11/2013

Dans l’extrait de Peut-on vivre sans stéréotypes sur autrui ?  par Jacques-Philippe Leyes, Paola Maria Paladino et Stéphanie Demoulin nous  décrivent  le racisme comme un jugement, un comportement dangereux du  aux stéréotypes ; ceux-ci  étant  des idées préconçues qui nous facilitent la compréhension de la complexité des relations sociales. Selon eux, un stéréotype revient à catégoriser, et  catégoriser est un phénomène, réaction, jugement normales  qu’on ne peut pas éviter lorsqu’on rencontre une personne pour la première fois.

Même si  les stéréotypes ne peuvent pas être évités,  il est bien possible de contrôler, en tant qu’individus et en tant que société,  les exagérations qui sont à la base de jugements extrêmes et racistes.  Ce qui pourra faciliter cette tache est le fait que le monde devient  conscient, aujourd’hui, de la dangerosité du racisme.


Que feront les medias dans ce cas-là ? Sachant bien que le racisme fut un outil majeur utilisé dans les publicités, les publicitaires n’auront pas l’outil de la moquerie des autres. Par exemple,  le racisme envers les noirs  qui était  souvent à la base de publicités (dont la raison a été expliquée dans le document Le racisme à travers des stéréotypes publicitaire par David C) faisait bon marché jusqu’à ce que le monde a pris conscience que cette attitude n’est pas acceptable. Les publicitaires devront donc changer de cap. Exploitant  que le combat contre les stereotypes soit à la mode, certains utilisent déjà  cette tendance comme un nouvel outil par exemple Dove ci-dessous.

« Nous croyons que la vraie beauté réside dans toutes les formes, toutes les tailles et tous les âges ». –Dove, cosmétique